L’AUGMENTATION MAMMAIRE
Dr B.Georges LACOTTE
L’AUGMENTATION MAMMAIRE
Le sein est le symbole de la féminité, le sein est l’organe principal de la féminité ! et une très petite poitrine (agénésie/hypotrophie mammaire) est souvent mal acceptée physiquement et psychologiquement par les patientes qui le vivent comme une atteinte à leur féminité, avec pour corollaire une altération de la confiance en soi et un mal-être, parfois si profond qu’il peut mener au véritable complexe. Elle pose parfois un réel problème dans le choix des tenues vestimentaires.
L’hypotrophie mammaire peut être la conséquence :
• D’un développement insuffisant de la glande à la puberté
• D’une perte du volume glandulaire suite à une grossesse, un amaigrissement, des perturbations hormonales… Ce manque de volume peut aussi être associé à une ptose (poitrine « tombante » avec affaissement de la glande, distension de la peau et aréoles trop basses).
La chirurgie d’augmentation mammaire est l’une des interventions les plus demandées en chirurgie esthétique et les raisons qui poussent des femmes à consulter un chirurgien pour bénéficier d’une augmentation mammaire sont multiples.
• – Les seins sont une partie du corps qui peut canaliser beaucoup de complexe, et plus particulièrement chez les très jeunes femmes. En ce cas, une augmentation mammaire par chirurgie esthétique mammaire peut être une excellente indication.
• – Les patientes ayant recours à l’augmentation mammaire sont aussi des femmes ayant eu plusieurs grossesses, ou ayant subi des écarts de poids très importants. Souvent dans ces cas précis, les seins peuvent être tombants et plats, on peut parler alors de ptose mammaire. La pose d’implants mammaires ainsi que d’autres interventions plus spécifiques permettent alors

de remonter la poitrine, rétablissant sa position et sa forme initiale.
• – Certaines femmes, dans une démarche plus purement esthétique, peuvent avoir recours à l’augmentation mammaire bien qu’elles disposent d’une poitrine satisfaisante.
• – Les implants mammaires peuvent également être utilisés dans le cas des asymétries mammaires, pour égaliser la forme et le volume des deux seins.
L’augmentation des seins peut se pratiquer à tout âge à partir de 18 ans. Une patiente mineure n’est habituellement pas estimée apte à subir une augmentation mammaire esthétique.
Cette chirurgie d’augmentation mammaire est la plupart du temps à visée purement esthétique et ne peut bénéficier d’une prise en charge par l’assurance maladie. Seuls quelques rares cas d’agénésie mammaire vraie (absence radicale de tout développement mammaire) peuvent parfois espérer une participation de la sécurité sociale après entente préalable.
L’intervention se déroule en ambulatoire (entrée le matin et sortie le soir de l’intervention) en fonction des antécédents de la patiente. Elle se pratique sous anesthésie générale. Une consultation chez l’anesthésiste est donc nécessaire avant votre intervention.
Cette augmentation mammaire, selon son importance, pourra se faire avec une prothèse mammaire ou par injection de votre propre graisse (lipofilling).
AUGMENTATION MAMMAIRE AVEC PROTHESE
C’est l’augmentation mammaire la plus fréquente, les cicatrices sont discrètes, elle permet d’obtenir un résultat très naturel si l’augmentation demandée est raisonnable. En augmentant le volume, votre chirurgien recrée un décolleté ce qui est généralement l’attente principale. L’avantage et de pouvoir contrôler exactement la taille de bonnet final. Elle nécessite la mise en place d’implants mammaires en gel de silicone très souple au toucher. La prothèse mammaire est ensuite placée devant ou derrière le muscle en fonction des besoins.
Le choix de l’incision lors de l’augmentation mammaire, le volume et la position de la prothèse par rapport au muscle seront décidés avec le Dr B. Georges LACOTTE en cours de consultation, afin de vous proposer ce qui vous convient de mieux, en harmonie avec votre silhouette.

Certains logiciels informatiques peuvent aider à déterminer le volume de la prothèse mammaire qui vous conviendrait mais il n’y a rien de mieux qu’une glace et l’essai de prothèses externes placées directement dans le soutien-gorge pour vous aider à choisir les prothèses répondant à vos vœux en tenant compte de votre morphologie.



LA TECHNIQUE OPÉRATOIRE
La chirurgie esthétique de l’augmentation mammaire a pour but d’obtenir deux seins harmonieux, joliment galbés et ascensionnés en augmentant le volume des seins par la mise en place d’implants mammaires. C’est une intervention qui se pratique sous anesthésie générale. La durée d’intervention est d’environ 1h00.
L’incision est courte (trois à quatre centimètres) et est située dans des zones peu visible.
Suivant les cas, la prothèse mammaire peut être mise soit en avant, soit en arrière du muscle grand pectoral. Les implants sont de nos jours pré remplis de gel de silicone et plusieurs formes sont proposées par le chirurgien en fonction de la morphologie (plates, hautes, rondes, anatomiques). La surface des implants peut être lisse, (micro)texturé, ou encore recouvert de polyuréthane.
En général, la technique utilisée par le Dr B. Georges LACOTTE permet de ne pas mettre de drains (redons) en fin d’intervention autorisant de ce fait la sortie de la clinique le jour même
Les différentes cicatrices possibles :
C’est au cours de la consultation avec votre chirurgien esthétique qu’il sera défini la position de la cicatrice nécessaire pour votre augmentation mammaire.
Les cicatrices possibles sont situées soit sous l’aréole, soit dans l’aisselle (creux axillaire) soit dans le sillon sous mammaire. S’il existe 3 options pour la cicatrice, c’est sans doute parce qu’aucune n’est parfaite et qu’elles ont toutes leurs avantages et leurs inconvénients. Faites confiance à votre chirurgien qui vous proposera celle qui lui parait la plus logique.
LA CONVALESCENCE APRÈS UNE AUGMENTATION MAMMAIRE
Les suites opératoires sont simples et peu douloureuses. La douleur est atténuée par un bloc analgésique du muscle grand pectoral en fin d’intervention. Les fils utilisés en profondeur et en surface sont résorbables et il n’y aura pas de fils à retirer. Vos cicatrices seront protégées par un vernis/colle qui vous permettra de vous doucher dès le retrait du premier pansement.
Le pansement réalisé au bloc opératoire est normalement retiré le surlendemain et est remplacé par un soutien-gorge de contention qu’il faudra ensuite porter pendant 6 semaines nuit et jour. Le port de ce soutien-gorge est nécessaire pour limiter l’œdème et assurer le maintien de la prothèse.
Les bas de contention, s’ils vous ont été prescrit, sont à porter pendant 1 semaine (réduction du risque de phlébite).
Des soins de cicatrice (lavage à l’eau et au savon, désinfectant, pansement) sont à réaliser jusqu’à cicatrisation complète (environ 1 semaine) et vous pouvez vous doucher tous les jours et refaire vos pansements ensuite.
Vous pouvez reprendre votre activité quotidienne normale quelques jours après l’intervention (mais il est conseillé de ne pas porter de charge lourde pendant 2 mois si des implants ont été posés).

Dès le 15eme jour il est conseillé de masser vos cicatrices afin de les assouplir et de les rendre moins visibles. Vos cicatrices seront rosées pendant 3 mois pour s’éclaircir progressivement. Elles seront discrètes vers le 12ème mois. Le sein est complètement cicatrisé en général 3 à 4 semaines après l’intervention.
Les cicatrices devront être protégées du soleil (écran total et soutien-gorge) pendant 1 an.
Les seins sont un peu gonflés et sensibles. Leur forme va évoluer pendant les mois à venir.
LE RESULTAT
La forme des seins et les cicatrices vont évoluer sur une année. Nous contrôlons le résultat à 3 semaines, 3 mois, 6 mois et 1 an. Le résultat esthétique final s’apprécie à 1 an (durée de la cicatrisation profonde et superficielle)
Les seins ont un aspect “gonflés et tendus” surtout le 1er mois puis ils vont s’assouplir et “se dérouler” pour avoir un aspect totalement naturel à 1an post-opératoire.
Les cicatrices sont inflammatoires (rosées, chaudes, un peu en volume) les 3 premiers mois puis vont évoluer jusqu’à la date anniversaire de l’intervention pour devenir fines et souples.
Patience, patience !






QUELLES SONT LES COMPLICATIONS POSSIBLES ?
Les principales complications post-opératoires sont
- Les accidents thrombo-emboliques comme la phlébite (trombone veineuse) avec le risque d’embolie pulmonaire : il s’agit d’une complication qui peut être grave. L’arrêt de la pilule contraceptive un mois avant l’intervention, le port de bas anti-thrombose et un lever précoce sont des précautions réduisant ce risque.
- L’hématome : saignement interne ou un amas de sang qui se caractérise par un gonflement à l’intérieur du tissu mammaire. La survenue d’un hématome peut imposer une reprise au bloc si une résorption spontanée est impossible (taille importante). La réduction du risque d’hématome se traduit par l’éviction de l’aspirine et des anti-inflammatoires une semaine avant l’opération.
- Epanchement lymphatique (sérome) : son apparition quelques semaines après l’intervention peut, dans certains cas, nécessiter un traitement par ponctions répétées, voire une reprise au bloc pour effectuer son drainage.
- Pneumothorax (rare) par brèche pleurale : cette complication est rarissime mais possible.
- Trouble de la cicatrisation : l’excellence des résultats d’une intervention dépend grandement des risques cicatriciels. La survenue de cicatrices hypertrophiques est un risque et leur persistance peut les faire évoluer en cicatrices chéloïdes. Ces troubles de la cicatrisation dépendent de chaque patiente. Une production trop abondante de tissu cicatriciel a pour conséquence un résultat de cicatrisation large et en relief. Chaque trouble de cicatrisation peut bénéficier d’un traitement adapté. Les troubles de la cicatrisation sont bien sûr plus fréquents chez les fumeuses et les patientes avec du diabète.
- Infection : cette complication est rarissime sachant que les règles d’asepsie chirurgicale et de soins postopératoires sont très strictes. La survenue d’une infection nécessite un traitement adapté par antibiotique voire une nouvelle intervention chirurgicale pour un lavage, le retrait de la prothèse sera nécessaire. Il faudra attendre plusieurs semaines, le temps que la zone cicatrise, avant de procéder à une nouvelle mise en place.
- Imperfection des résultats : il peut s’agir d’une asymétrie ou d’une correction de volume non suffisante. La patiente doit patienter plusieurs mois avant une éventuelle réintervention, afin de respecter un délai de cicatrisation suffisant.
- Coque fibreuse péri-prothétique : cette complication imprévisible, qui est une réaction du corps contre la prothèse, peut survenir bilatéralement ou unilatéralement, quelques mois après l’opération. Des gênes et douleurs peuvent être occasionnées. Une réintervention est alors nécessaire, selon les cas, pour l’ouverture de la coque (capsulotomie), voire son retrait (capsulectomie). Parfois, la mise en place d’implants de plus petite taille aide à une meilleure acceptation. Exceptionnellement, il peut arriver, malgré ces soins, que la coque récidive. Un retrait définitif des prothèses sera alors obligatoire. Des prothèses fortement texturées et positionnées sous le muscle pectoral limiteraient ce risque de coque qui est déjà inférieur à quelques pourcents.
- Rupture ou dégonflement de l’implant : lorsqu’une prothèse contenant du sérum physiologique ou du gel de silicone se fissure. La réintervention est systématique en cas de prothèse en silicone pour un changement. Une fuite sera objectivée par un examen morphologique (échographie voire IRM mammaire).
- Aspect de plis ou de vagues : cette complication est davantage présente chez les patientes minces portant des implants mammaires (plus volontiers au sérum que ceux remplis de gel de silicone) et de grands volumes. Leur apparition nécessite un traitement adapté (prothèses plus petite taille, en position rétromusculaire, si possible en gel de silicone à haute cohésion…)
- L’apparition de vergetures : risque possible lorsque l’implant est trop volumineux et que l’élasticité cutanée n’est pas optimale.
- Une altération de la sensibilité des mamelons peut être également rapportée, et la récupération n’est pas toujours immédiate.
- Le lymphome mammaire associé à un implant mammaire (LAGC-AIM) (Voir FAQ)
Les progrès chirurgicaux et les techniques d’augmentation mammaire actuelles permettent aujourd’hui l’obtention de résultats naturels et esthétiques, tout en écartant au maximum les risques postopératoires ainsi que les complications.
AUGMENTATION MAMMAIRE SANS PROTHESE : LE LIPOFILLING MAMMAIRE
L’augmentation mammaire sans implants est une technique plus récente permettant d’obtenir un résultat naturel. Cette technique est appelée lipofilling mammaire. Elle connaît un succès grandissant. C’est ce qu’on appelle l’augmentation mammaire « sans cicatrice » !
On utilise votre propre graisse qui est prélevée par liposuccion (ventre, cuisse, genoux…) dans des endroits disgracieux (ventre, cuisse, genoux…) et réinjectée au niveau de la poitrine. L’augmentation mammaire par lipofilling peut être l’occasion de pratiquer une liposuccion permettant à la patiente de perdre quelques centimètres de tour de taille ou d’éliminer un léger surplus graisseux. Elle permet une augmentation mammaire très naturelle sans nécessité de mise en place d’un corps étranger. Tandis que la durée de vie d’un implant mammaire est limitée, cette intervention permet des résultats stables dans le temps.
Cette technique est utilisée si on souhaite une augmentation mammaire d’un bonnet maximum (bonnet C à bonnet D par exemple).
La graisse prélevée ne pourra être réinjectée en l’état. Elle doit être traitée et affinée. Pour cela, le praticien va laver, nettoyer la graisse, la passer au tamis et enlever toutes les cellules graisseuses les plus fibreuses, de manière à fluidifier la graisse injectable. Une graisse plus fine permet de réaliser un lipofilling plus précis.

En règle générale le rapport entre la graisse aspirée et la graisse utilisable pour le lipofilling est de 1 pour 3 (900 cc de graisse aspirée sont nécessaires pour injecter 300 cc de graisse purifiée). La résorption étant de 30% en moyenne, il restera au final environ 200 cc de graisse sur les 900 cc prélevés initialement.
Cette graisse est ensuite répartie de manière homogène dans les seins. Pour cela, le chirurgien utilise de fines canules.
Quelle que soit la demande du patient, le praticien n’injecte pas plus de 200 à 250 centimètres cubes de graisse par sein. Cette limitation permet d’optimiser les chances de réussite de la greffe. Si vous souhaitez une augmentation mammaire plus importante il faudra prévoir une 2ème séance de lipofilling mammaire quelques semaines plus tard.
La graisse qui est prise va rester ensuite toute la vie, elle n’est pas résorbable. Le lipofilling est donc une méthode définitive et naturelle. Seule une perte très importante de poids peut faire varier la quantité de graisse présente (le nombre de cellules graisseuses est toujours le même mais elles perdent en taille sous l’effet d’un amaigrissement important).

En fin d’intervention, le chirurgien referme les incisions avec du fil résorbable et pose un pansement et un soutien-gorge de contention. Le volume en graisse nécessaire est important. Seul le chirurgien plasticien peut évaluer la possibilité ou pas de le faire et surtout anticiper le résultat à venir.
L’intervention a lieu sous anesthésie générale, dure entre 2 et 3 heures en fonction de la quantité de graisse à prélever et à réinjecter.
Les suites sont simples (douleurs à type de courbatures facilement calmées par les antalgiques la première semaine, ecchymoses éventuelles pendant 10 jours, panty à porter 4 semaines sur les zones lipoaspirées, éviction professionnelle en moyenne 10 jours). Il faut compter entre 3 et 6 mois pour voir le résultat final du lipofilling mammaire. Ce résultat est stable et durable. Il est cependant important de maintenir une hygiène de vie et un poids stable
Quels sont les avantages du lipofilling mammaire par rapport à une augmentation mammaire par prothèse ?
- Absence de corps étranger implanté dans l’organisme. Technique 100% naturelle, la graisse provient de la patiente elle-même (technique autologue).
- Résultat définitif et stabilité dans le temps (sauf en cas de perte de poids importante, la graisse injectée dans les seins évolue comme toutes les graisses : elle fond, c’est le principe du régime…).
- Pas de phénomène de coque ou de rejet, pas de plis, de vague, d’aspect artificiel du sein.
- Pas de cicatrice visible. Les cicatrices des implants sont cependant souvent quasiment invisibles.
- Seins souples à la palpation.
- Association à une lipoaspiration.
Quels sont les inconvénients du lipofilling mammaire par rapport à une augmentation mammaire par prothèse ?
- Seins souples à la palpation… Avantage ou inconvénient en fonction de ce que l’on souhaite !
- Phénomène de fonte inéluctable en cas de perte importante de poids (la graisse fond lors de la perte de poids… mais revient en cas de reprise de poids).
- Intervention chirurgicale plus longue (2 à 3 heures au lieu d’une heure) mais convalescence identique.
- Augmentation de volume modérée par rapport aux implants (900 cc de graisse aspirée=300 cc de graisse purifiée=150 cc de graisse par sein injectée=100 cc au final – 30% de résorption habituelle lors des 3 premiers mois -). La taille moyenne d’un implant mammaire en France est de 350 cc (1 bonnet 3/4). Il faut donc pouvoir aspirer au moins 3 litres de graisse pour avoir un volume équivalent, ce qui n’est pas souvent le cas. L’augmentation de volume moyenne lors d’un lipofilling est de 200 cc par sein (1 bonnet).
- Taille de la poitrine difficilement prévisible (dépend de la quantité de graisse aspirable sans faire de creux au niveau de la peau, de la qualité de la graisse, de la quantité qui va prendre, de la résorption post-opératoire.
- Souvent 2 séances nécessaires pour avoir un volume équivalent à celui d’un implant mammaire.
L’AUGMENTATION MAMMAIRE : QUEL PRIX ?
Les prix au rabais n’existent pas en médecine ou en chirurgie esthétique ou alors méfiance ! Des prix exorbitants ne sont pas forcément le gage d’un meilleur savoir ou de résultats irréprochables. Alors, quel est le juste prix ?
Le coût du produit lui-même augmente chaque année (sauf circuit particulier). Les normes de sécurité sont de plus en plus draconiennes pour votre bien être. Les diplômes requis de ces praticiens sont souvent de l’ordre de 15 années après le bac et le coût de leurs assurances suivent le même indice. Un praticien sérieux ne brade pas son savoir-faire.
Le prix d’une augmentation mammaire dépend de plusieurs facteurs : la technique utilisée, la taille et la nature de l’implant (en cas d’augmentation mammaire par prothèses) et de la nature de l’opération, chirurgie esthétique ou réparatrice. Le prix sera défini lors de votre première consultation avec le docteur B. Georges LACOTTE
Pour une augmentation mammaire, les honoraires sont à partir de 1800 euros. Le prix d’une paire de prothèse varie entre 600 et 900 euros.
Pour avoir des informations complémentaires vous pouvez lire les fiches « Prothèse mammaire et hypoplastie des seins» et « Transfert graisseux dans les cas augmentation mammaire a visée esthétique ou malformations congénitales »
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